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Novi Afon, Abkhazie, 2015

Soukhoum, Abkhazie, 2011

Esma (22 ans), Talila (19 ans), Smir (22 ans) et Elana (21 ans) étudient l’histoire à l’Université de Soukhoum.
Soukhoum, Abkhazie, 2013

Les cinq cents invités de ce « petit » mariage abkhaze sont déjà installés en attendant l’arrivée des jeunes mariés à leur table.
Gudauta, Abkhazie, 2015

Tamaz (28 ans) travaille pour une des deux compagnies de téléphonie mobile abkhazes. Originaire d’Ochamchira en Abkhazie, il a vécu dix ans en Ukraine avec ses parents, entre 1989 et 1999, avant de revenir s’installer ici.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Vue depuis l’entrée de la grotte où vécut Simon le Zélote, l’un des douze apôtres de Jésus Christ. Novi Afon est un haut lieu de tourisme pour les Russes et les Abkhazes.
Novi Afon, Abkhazie, 2015

Amina (29 ans) travaille en Abkhazie pour Sputnik, l’agence de presse officielle de la Russie à l’international.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Photographie représentant Tina qui pose sur le front de mer à Sokhoumi avant le départ forcé de sa famille vers Poti en Géorgie suite au conflit qui opposa l’Abkhazie à la Géorgie en 1992 et 1993.
Poti, Géorgie, 2011

Baie de Soukhoum.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Elana (18 ans) est danseuse dans l’ensemble national abkhaze Sharatin.
Gudauta, Abkhazie, 2015

Baie de Soukhoum.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Sanatorium abandonné.
Gagra, Abkhazie, 2015

Statue de Lénine à l’entrée d’un sanatorium réputé de Gagra.
Gagra, Abkhazie, 2015

Eteri, réfugiée originaire d’Abkhazie, est arrivée à Poti en Géorgie en 1992. Elle y a vécu vingt ans dans un ancien hôtel avant d’être récemment relogée dans un nouveau quartier en périphérie. Elle dit avoir 60 ans, mais les gens autour d’elle disent qu’elle en a davantage. Peut-être 80. « J’aime Sokhoumi. J’y suis née. J’attends que tout le monde ici soit marié et je rentre à Sokhoumi. Ils me rejoindront après ».
Poti, Géorgie, 2011

Marché de Soukhoum.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Dans la cour d’une maison aux alentours de Soukhoum.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Ancienne cité minière, au fond d’une vallée. Il y subsiste aujourd’hui une petite exploitation de charbon à ciel ouvert. La production est exportée vers la Turquie.
Tkouartchal, Abkhazie, 2013

Zaur est arrivé à Poti par les montagnes de Svaneti après la chute de Sokhoumi le 27 septembre 1993. Nombreux sont ceux qui ont marché à travers les montagnes pour rejoindre Poti ou Kutaïsi. Il est manutentionnaire pour la filiale d’une compagnie pétrolière et travaille parfois de jour, parfois de nuit.
Poti, Géorgie, 2011

Nouveau quartier en construction en banlieue de Poti pour accueillir les déplacés du conflit. Les immeubles sont construits à la hâte, avec des matériaux bon marché. Les habitants n’ont l’eau courante que 3 heures par jour.
Poti, Géorgie, 2011

La rivière Ingur (Enguri en géorgien) forme une limite entre l’Abkhazie et la Géorgie. D’un côté du pont, un poste de police géorgien, de l’autre, un poste de douane abkhaze et des garde-frontières de la Fédération de Russie.
Rivière Ingur, 2013

Le Père Dorotheos Dbar aspire à l’autocéphalie de l’Eglise orthodoxe abkhaze qui dépend officiellement de l’Eglise géorgienne.
Novi Afon, Abkhazie, 2015

Ce pont, à quelques kilomètres au nord de la ville, a été le théâtre d’âpres affrontements entre les Abkhazes et les Géorgiens pendant la guerre de 92-93.
Soukhoum, Abkhazie, 2013

Portrait de Vladislav Ardzinba, premier président de l’Abkhazie indépendante et héros national.
Soukhoum, Abkhazie, 2011

30 septembre, célébration de la victoire des Abkhazes sur l’armée géorgienne en 1993.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Chanteuse au mariage de Natacha et Diniz.
Gudauta, Abkhazie, 2015

Salle de spectacle d’un sanatorium abandonné.
Gagra, Abkhazie, 2015

Timur (16 ans), jeune lutteur, participe à des compétitions en Abkhazie et en Russie.
Soukhoum, Abkhazie, 2015

Sanatorium abandonné.
Gagra, Abkhazie, 2015

Ce nouveau quartier en construction en banlieue de Poti accueille des déplacés de toute la Géorgie. Des centaines de familles se sont installées dans des appartements de taille variable, attribués arbitrairement. Certains travaillent, mais la plupart d'entre eux vivent avec des maigres aides de l’État.
Poti, Géorgie, 2011

Tina est une déplacée. Elle a travaillé 27 ans dans un magasin de jouets à Sokhoumi avant que la guerre ne lui fasse fuir l’Abkhazie pour Poti en Géorgie. Sa fille, son fils et elle vivent avec les aides aux PDI (Personne Déplacée de l’Intérieur) délivrées par l’État - 15 euros chacun par mois - et une maigre retraite d’une cinquantaine d’euros.
Poti, Géorgie, 2011

Soukhoum, Abkhazie, 2013

Astanda (25 ans) travaille au ministère des Affaires étrangères abkhaze. Très politisée, elle milite pour la reconnaissance de l’indépendance de l’Abkhazie.
Soukhoum, Abkhazie, 2015