En août 1942, Chaja Inwentarz, Polonaise de confession juive, est blessée par deux balles allemandes alors qu’elle tente de passer en zone non occupée en Dordogne, de nuit, accompagnée de son mari et de son fils.
Avant le début de la guerre, elle vivait avec sa famille à Paris où elle travaillait dans un atelier de confection textile. Après l’instauration des mesures anti-juives, elle part pour Monts en Indre-et-Loire en novembre 1941, où elle échappe aux rafles. Sa carte d’identité porte la mention « juive ». En août 1942, elle tente de passer la ligne de démarcation clandestinement avec son époux, son fils et deux passeurs apparemment peu expérimentés. Surpris par les Allemands, ils prennent la fuite. Blessée par balle, elle est arrêtée par les Allemands, amenée à l’hôpital de Nontron puis à l’hôpital Rothschild à Paris, avant d’être internée au camp de Drancy et déportée par le convoi n° 26 du 31 août 1942 en direction d’Auschwitz, où elle décède le 5 septembre 1942.
Son nom est inscrit sur le Mur des Noms du Mémorial de la Shoah à Paris. Ce monument fut inauguré le 25 janvier 2005 en présence du président de la République.
Le témoignage de son fils, qui avait douze ans au moment des faits, ne permet pas de déterminer avec précision le lieu où se sont déroulés les événements.
En août 1942, Chaja Inwentarz, Polonaise de confession juive, est blessée par deux balles allemandes alors qu’elle tente de passer en zone non occupée en Dordogne, de nuit, accompagnée de son mari et de son fils.
Avant le début de la guerre, elle vivait avec sa famille à Paris où elle travaillait dans un atelier de confection textile. Après l’instauration des mesures anti-juives, elle part pour Monts en Indre-et-Loire en novembre 1941, où elle échappe aux rafles. Sa carte d’identité porte la mention « juive ». En août 1942, elle tente de passer la ligne de démarcation clandestinement avec son époux, son fils et deux passeurs apparemment peu expérimentés. Surpris par les Allemands, ils prennent la fuite. Blessée par balle, elle est arrêtée par les Allemands, amenée à l’hôpital de Nontron puis à l’hôpital Rothschild à Paris, avant d’être internée au camp de Drancy et déportée par le convoi n° 26 du 31 août 1942 en direction d’Auschwitz, où elle décède le 5 septembre 1942.
Son nom est inscrit sur le Mur des Noms du Mémorial de la Shoah à Paris. Ce monument fut inauguré le 25 janvier 2005 en présence du président de la République.
Le témoignage de son fils, qui avait douze ans au moment des faits, ne permet pas de déterminer avec précision le lieu où se sont déroulés les événements.